Descriptions textuelles des diagrammes sur les politiques de vaccination contre le VPH

Taux de vaccination contre le VPH chez les filles

D’après des données de 2015 à 2019, le premier diagramme à barres de la page intitulée Contexte et principales statistiques sur la vaccination contre le VPH au Canada indique ce qui suit :

  • Le taux d’administration de la dernière dose du vaccin à Terre-Neuve-et-Labrador chez les filles et les garçons était de 91,3 %.
  • Le taux d’administration de la dernière dose du vaccin à l’Île-du-Prince-Édouard chez les filles était de 86,4 %.
  • Pour la Nouvelle-Écosse, il était de 80,8 %.
  • Pour le Québec, il était de 77,0 %.
  • Pour le Nouveau-Brunswick, il était de 74,8 %.
  • Pour le Manitoba, il était de 69,4 %.
  • Pour la Saskatchewan, il était de 69,1 %.
  • Pour l’Alberta, il était de 68,2 %.
  • Pour la Colombie-Britannique, il était de 66,9 %.
  • Pour l’Ontario, il était de 62,4 %.
  • Pour les Territoires du Nord-Ouest, il était de 57,1 %.

Aucunes données ne sont disponibles pour le Yukon ou le Nunavut.

Référence : https://www.partnershipagainstcancer.ca/fr/topics/cervical-cancer-screening-scan-2019-2020/

Taux de vaccination contre le VPH chez les garçons

Le deuxième diagramme à barres, qui est axé sur les garçons, indique ce qui suit :

  • Le taux d’administration de la dernière dose du vaccin à Terre-Neuve-et-Labrador chez les garçons et les filles était de 91,3 %.
  • Le taux d’administration de la dernière dose du vaccin à l’Île-du-Prince-Édouard chez les garçons était de 85,6 %.
  • Pour la Nouvelle-Écosse, il était de 81,0 %.
  • Pour le Québec, il était de 74,0 %.
  • Pour le Nouveau-Brunswick, il était de 70,2 %.
  • Pour l’Alberta, il était de 66,1 %.
  • Pour la Colombie-Britannique, il était de 64,6 %.
  • Pour l’Ontario, il était de 57,5 %.

Aucunes données ne sont disponibles pour le Manitoba, la Saskatchewan, le Yukon, le Nunavut ou les Territoires du Nord-Ouest.

Référence : https://www.partnershipagainstcancer.ca/fr/topics/cervical-cancer-screening-scan-2019-2020/

Facteurs influençant la décision de ne pas se faire vacciner contre le VPH

Le premier diagramme de la page intitulée Perceptions du public à l’égard de la vaccination contre le VPH indique ce qui suit :

Les facteurs courants influençant la décision des adultes de ne pas se faire vacciner contre le VPH étaient les suivants :

  • Mon âge ou ma période de vie (63 %)
  • Efficacité du vaccin pour la prévention du cancer et des condylomes anogénitaux (24 %)
  • Information que j’ai reçue sur le vaccin (25 %)
  • Innocuité du vaccin (26 %)
  • Coût du vaccin (22 %)
  • Endroit où le vaccin était offert (11 %)
  • Jour ou heure auxquels le vaccin était offert (8 %)
  • Ce que l’on ressent quand on se fait piquer (8 %)

Les facteurs courants influençant la décision des adultes de ne pas faire vacciner leurs enfants étaient les suivants :

  • Efficacité du vaccin pour la prévention du cancer et des condylomes anogénitaux (41 %)
  • Information que j’ai reçue sur le vaccin (49 %)
  • Innocuité du vaccin (53 %)
  • Information que mon enfant a reçue sur le vaccin (49 %)
  • Endroit où le vaccin était offert (16 %)
  • Jour ou heure auxquels le vaccin était offert (12 %)
  • Ce que l’on ressent quand on se fait piquer (16 %)

Référence : Public and patient engagement to inform action plan for elimination of cervical cancer in Canada – Partenariat canadien contre le cancer. Rapport non publié de 2020.

Raisons de refuser le vaccin contre le VPH pour soi-même ou pour ses enfants

Le deuxième diagramme de la page intitulée Perceptions du public à l’égard de la vaccination contre le VPH indique ce qui suit :

Les raisons courantes chez les adultes de ne pas se faire vacciner étaient les suivantes :

  • Ils étaient trop vieux (51 %)
  • Ils avaient peu de partenaires sexuels ou n’en avaient pas (19%)
  • Ils n’avaient pas besoin du vaccin (10 %)

Les raisons courantes chez les adultes de ne pas faire vacciner leurs enfants étaient les suivantes :

  • Le vaccin n’était pas efficace ou pas sécuritaire (25%)
  • Il existait un manque d’information ou de sensibilisation à l’égard du vaccin (20%)
  • Leurs enfants étaient trop jeunes pour recevoir le vaccin (10 %)

Référence : Public and patient engagement to inform action plan for elimination of cervical cancer in Canada – Partenariat canadien contre le cancer. Rapport non publié de 2020.